Ministère de la Santé Publique

Le Chef de la Division de la Recherche Opérationnelle en Santé (DROS), Le Professeur Anne Cécile BISSECK a présidé le 11 avril 2024 au nom de Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de la Santé Publique, la réunion préparatoire de présentation du programme et d’identification des sujets de rechercher prioritaires en santé, en prélude au lancement de la deuxième session de formation au programme « Data to Policy »

La Salle de Conférence du MINSANTE a réuni pour trois heures d’horloge, près d’une vingtaine de structures du Ministère de la Santé Publique, qu’entouraient des partenaires stratégiques tels que l’OMS, CDC ATLANTA et le porteur du projet VITAL STRATEGIES.

La rencontre du 11 avril, avait pour objectif principal d’informer le Chef de Département, sur cette formation en perspective et qui rentre dans sa phase deux après la première, qui s’est tenue en 2023. Par la même occasion, Samuel KAMWA, le Représentant de Vital Stategies a déroulé le programme de formation, identifié les thèmes prioritaires qui pourraient être développés au cours de ladite formation. Il a également dressé un profil robot de ceux qui pourraient prétendre à cette formation. Pour donc y prendre part, il faudra être universitaire, avec au minimum un Masters dans le domaine de la Santé, avoir une parfaite maîtrise de l’Anglais, des logiciels Word, Power Point, entre autres, détenir une lettre de recommandation de sa hiérarchie, mais surtout être disponible, assidu et travailleur.

La prochaine session de formation au programme « Data To Policy » n’ouvre que 15 places. Elle portera sur des sujets tels que la transmission de l’hépatite B de la mère a l’enfant, les questions relatives au cancer du sein, la consommation des drogues dans les établissements scolaires, pour ne citer que ceux là. A l’issue de cette réunion, plusieurs recommandations se sont dégagée à savoir :

- Bâtir sur l’existant un agenda de priorité de recherche ;

-Partager le tableau des sujets afin de mieux les renseigner

-Associer les autres sectorielles et les organisations de la société civiles dans le Processus,

-Avoir une maîtrise de l’Anglais lu parlé et écrit ;

-Mutualiser les expertises entre la DROS et toutes les autres structures du MINSANTE ;

- Partager la listes des personnes déjà formées ;

S’appuyer sur l’expertise de l’Observatoire National de Santé Publique (ONSP), pour l’institutionnalisation de cet exercice.

Il est à retenir pour ceux qui se forment que les notes de formations ne doivent pas qu’informer mais elles doivent créer une histoire de changement.

S.E. AKAMBA Ph.D.

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